DON FRANCISCO FELIX de SOUZA

DON FRANCISCO FELIX de SOUZA
CHACHA 1er
CREATION D’UNE STRUCTURE D’ACCUEIL.

« La Cité du RETOUR CHACHA 1er ».
Sous l’égide de son Excellence CHACHA VIII,
Mitô Honoré Féliciano Juliao F. de SOUZA.
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« La Cité du RETOUR CHACHA 1er ».
Est une Structure d’Accueil qui s’étendra sur 14 Kms de long, bordée par un lac qui servira pour une INFRASTRUCTURE de PISCICULTURE.
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Cette structure d’accueil recevra tous les Enfants de la DIASPORA NOIRE dispersés sur tous les CONTINENTS.
La première mission de cette Cité, est de susciter l’ardeur du RETOUR de ses ENFANTS. Le RETOUR sur la TERRE Mère AFRIQUE, dont la première Grande Porte d’Entrée serait ouverte par Ouidah. (Bénin, ex-DAHOMEY).
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« La Cité du RETOUR CHACHA 1er ».
Est un ensemble de STRUCTURES d’ACCUEIL regroupant :
*- (1) Un ensemble de mille Logements de différents types dans un premier temps et, EXTENSIBLE par la suite selon les besoins.
*- (1) Un Centre Commercial, avec des Espaces-Stands locatifs aux divers EXPOSANTS et Commerçants Nationaux et Internationaux.
*- (1) Un Centre de Santé (Premiers Soins & Pharmacie).
*- (1) Un Complexe SCOLAIRE (Anglais-Français).
*- (1) Un Complexe Sportif.
*- (1) Un Centre de Loisirs MULTIMEDIA (regroupant…
(1) Un Complexe CULTUREL. (Radio, TV, Studios de Musiques et Vidéo, Théâtre, Spectacles, Cinéma). (Avec Archivages Numériques).
*- Un Complexe de Centres de Cultes (Religieux).
*- (1) Un Centre de Sécurité (Vidéo-Surveillance avec Archivages & Maîtres-Chiens.
*- (1) Banque & Transactions.
*- (1) Un Bureau de Poste & Télécommunications.
*- (1) Une Aire de Jeux (Espaces Verts).
*- (1) Une Aire d’Atterrissage d’Hélicoptère.
*- (1) Un Bâtiment ONG ARAPEC.
Cette (Ville) Cité du RETOUR CHACHA 1er, aura en son sein, une ONG dénommée ARAPEC.
(C’est-à-dire : AGENCE pour la RECONSTRUCTION de l’AFRIQUE, de son PEUPLE, de son ECONOMIE et de sa CULTURE).
Sous la Tutelle de ARAPEC il y a :
1°- AGECOOPSS : AGENCE de Coopération SUD-SUD.
Afin de Promouvoir et Dynamiser les Echanges.
L’Afrique a besoin de tous ses Enfants dispersés sur tous les CONTINENTS. Cette Coopération s’étendra aux autres peuples frères appartenant économiquement à la zone SUD.
2°- CERDEA : Centre d’ETUDES, de RECHERCHES et de DOCUMENTATION sur l’ESCLAVAGE et le Colonialisme,
le Néocolonialisme, l’Impérialisme et la Mondialisation.
3°- « CROIX DE VIE » : Se définissant comme une Organisation des POPULATIONS UNIES et SOLIDAIRES contre la Faim, la Misère, l’Exclusion, les Génocides et toutes les Formes d’Extermination et pour la Reconnaissance et le Respect de tous leurs DROITS, la PROTECTION de leur Environnement, la Fraternité, l’Entraide et la Solidarité).
Cette Organisation ARAPEC (AGENCE pour la CONSTRUCTION de l’AFRIQUE, de son PEUPLE, de son ECONOMIE et de sa CULTURE), fera l’objet d’un DOSSIER, séparément.

Julien Charles Féliciano Juliao F. de SOUZA
&
Christian Antoine Féliciano Juliao F. de SOUZA.

Mandatés par son Excellence CHACHA VIII,
Mitô Honoré Féliciano Juliao F. de SOUZA.


Sigbomey, Quartier Brésil à OUIDAH
Le 30 Juillet 2006.
fa-toula@wanadoo.fr

BIENVENUS

BIENVENUS
BIENVENUS sur la TERRE des ANCÊTRES

SOUS CE SCEAU

SOUS CE SCEAU

LES ETATS UNIS d'AFRIQUE

A quand: "UNE PRISE DE CONSCIENCE POUR LES ETATS-UNIS d'AFRIQUE?"

Nous avons le POTENTIEL !

Tant en RESSOURCES HUMAINES que NATURELLES.

Cessons de flatter nos EGOS en pratiquant la politique du Ventre.

Pendant que nous nous détruisons de diverses manières, nous sommes pillés et relégués aux rangs des mendiants miséreux.

Engageons-nous réellement sur la VOIE de la Liberté, du Bien-Être et du Partage équitable envers l’Humanité.

Philosis

Que vaut la Vie de vos concitoyens à vos yeux ?

Que vaut le Pouvoir sans partage ?

Que vaut l’Accumulation de vos biens à l’Etranger, alors que vos concitoyens se retrouvent dans un dénuement pitoyable ? Poussés sur les routes par le crépitement des armes (qui proviennent d’où ?) et parqués dans des champs… Ces mêmes concitoyens qui hier, scandaient des cris d’ESPOIR et vous faisaient CONFIENCE .

SOUVENEZ-VOUS un instant, dans vos délires de POUVOIR, qu’un Linceul n’a pas de poche.

S’en SOUVENIR pour ne plus TUER Père et Mère… Amis et Frères au nom du Pouvoir.

AZIZAMAN.


mardi 12 avril 2011

LE JOUR Où TOUT BASCULA POUR YAYI BONI THOMAS

CETTE PAGE est

Chargée d'une Très Haute Densité VIBRATOIRE et IMPRÉCATOIRE.

Un homme averti, en vaut 8.
*

*      *
Le MARDI 12 Avril 2011,

Houé djê Houé tîn
J’ouvre les vannes des Calamités sur la tête de l’Être de

YAYI BONI THOMAS et de Albert Tévoédjrè.

TCHÊ-TOULA, Klèbô !
SOKPIN non bou dô SO noukon an.

De l’Eau pour nous (Lêbolou, Lêboyê, Lêbotchê), l’Alcool à l’intention des ENNEMIS

et l’Huile pour GOU-GBÊDOGLÎ.

Voici le DJASSI POUR LES PORTIERS DES 4 POLARITÉS.

ATCHÊ TCHÉ DIGBÉ BÔ KINTO DANXOMÊTON LÈ YÎ ZOÙN.

AGBÉBLOU do kinto.
Faites Résonner les ASSONS aux ASSÎNS des ANCÊTRES de tous les HÎN noù, faites résonner les clochettes dans Tous les Temples, COUVENTS et Gbâlês du DANXOMÊ.

Combats ceux qui me combattent!

Saisis le petit et le grand bouclier,

Et lève-toi pour me secourir!

Brandis la lance et le javelot contre mes persécuteurs!

Dis à mon âme: Je suis ton salut!

Qu'ils soient honteux et confus, ceux qui en veulent à ma vie!

Qu'ils reculent et rougissent, ceux qui méditent ma perte!

Qu'ils soient comme la balle emportée par le vent,

Et que l'ange de l'Éternel les chasse!

Que leur route soit ténébreuse et glissante,

Et que l'ange de l'Éternel les poursuive!

Car sans cause ils m'ont tendu leur filet sur une fosse,

Sans cause ils l'ont creusée pour m'ôter la vie.

Que la ruine les atteigne à l'improviste,

Qu'ils soient pris dans le filet qu'ils ont tendu,

Qu'ils y tombent et périssent!

Et mon âme aura de la joie en l'Éternel,

De l'allégresse en son salut.

Tous mes os diront: Éternel! Qui peut, comme toi,

Délivrer le malheureux d'un plus fort que lui,

Le malheureux et le pauvre de celui qui le dépouille?

De faux témoins se lèvent:

Ils m'interrogent sur ce que j'ignore.

Ils me rendent le mal pour le bien:

Mon âme est dans l'abandon.

Et moi, quand ils étaient malades, je revêtais un sac,

J'humiliais mon âme par le jeûne,

Je priais, la tête penchée sur mon sein.

Comme pour un ami, pour un frère, je me traînais lentement;

Comme pour le deuil d'une mère, je me courbais avec tristesse.

Puis, quand je chancelle, ils se réjouissent et s'assemblent,

Ils s'assemblent à mon insu pour m'outrager,

Ils me déchirent sans relâche;

Avec les impies, les parasites moqueurs,

Ils grincent des dents contre moi.

Seigneur! Jusques à quand le verras-tu?

Protège mon âme contre leurs embûches,

Ma vie contre les lionceaux!

Je te louerai dans la grande assemblée,

Je te célébrerai au milieu d'un peuple nombreux.

Que ceux qui sont à tort mes ennemis ne se réjouissent pas à mon sujet,

Que ceux qui me haïssent sans cause ne m'insultent pas du regard!

Car ils tiennent un langage qui n'est point celui de la paix,

Ils méditent la tromperie contre les gens tranquilles du pays.

Ils ouvrent contre moi leur bouche,

Ils disent: Ah! ah! Nos yeux regardent! -

Éternel, tu le vois! Ne reste pas en silence!

Seigneur, ne t'éloigne pas de moi!

Réveille-toi, réveille-toi pour me faire justice!

Mon Dieu et mon Seigneur, défends ma cause!

Juge-moi selon ta justice, Éternel, mon Dieu!

Et qu'ils ne se réjouissent pas à mon sujet!

Qu'ils ne disent pas dans leur cœur:

Ah! Voilà ce que nous voulions!

Qu'ils ne disent pas: Nous l'avons englouti!

Que tous ensemble ils soient honteux et confus,

Ceux qui se réjouissent de mon malheur!

Qu'ils revêtent l'ignominie et l'opprobre,

Ceux qui s'élèvent contre moi!

Qu'ils aient de l'allégresse et de la joie,

Ceux qui prennent plaisir à mon innocence,

Et que sans cesse ils disent: Exalté soit l'Éternel,

Qui veut la paix de son serviteur!

Et ma langue célébrera ta justice,
Elle dira tous les jours ta louange.

+JAH

 
+JAH      +JAH

ADJIKAN, sô yé doù.

*

*      *

Comme une Seule Entité, PEUPLE du DANXOMÊ DEBOUT.

Pour BOUTER DEHORS Albert Tévoédjrè qui GOUVERNE par PROCURATION au TRAVERS de YAYI BONI THOMAS, homme de paille.

L’HEURE est VENUE pour LA RÉSISTANCE dans
la DÉSOBÉISSANCE CIVIQUE TOTALE.

jeudi 23 décembre 2010

THOMAS du DANHOMÊ (Bénin)

A

Thomas du Danhomê (Bénin)


Les ENFANTS de Dada GHEZO de par l’Univers,

demandent REPARATION pour ton acte IRREVERENCIEUX

dans un délais de 41 jours.

Sur la Terre Sacrée de nos ANCÊTRES, l'on ne peut se permettre

de fouler du pied, ni de balayer d'un simple revers de main

certaines Valeurs intrinsèques.

NB : Le pagne d'humilité est de rigueur.

Émissaire

Christian Antoine Féliciano Juliao F. de Souza

Alias

Kpoguè : Dah CHACHA Viwoanou

Alias

Philosis


Ou


d'ailleurs, ce 04 décembre 2010 / 13 : 45 GMT



lundi 5 janvier 2009

MISE A PLAT POUR UNE AUTRE VOIE POLITIQUE A VISAGE HUMAIN.

Il y a quatre ans Jour pour Jour, débuta cette péripétie annonciatrice de profonds changements dans ma Vie d’Homme. C’était le 06 Décembre 2004, Jour de naissance de mon fils Thao Davi Noël, (Principe « double » de sa sœur DAËNA) . J’ai toujours assisté à toutes les naissances de mes enfants. Pour la naissance de Thao, c’est une gageur insurmontable pour mon faible entendement du moment. Alité et pris dans un tourbillon de malaises indescriptibles, je n’avais que mon discernement psychique pour me guider. Ce dont je souffrais ne relevait d’aucune médication thérapeutique classique. « AGBEBLOU » ! Ce vocable mystique s’IMPOSAIT à ma CONSCIENCE. Grelottant d’une forte fièvre, je ne peux que me résoudre à « RUSER » pour « GAGNER » du temps, afin de mieux CERNER les fondements de cette NASSE OCCULTE qui m’entoure. Rien que par le vocable « AGBEBLOU » qui s’imposait, je déduisais de mes analyses les pistes à explorer. Qu’est-ce donc encore ces défis ? Je ne peux m’adresser comme par le passé à un AVERTI de Haut Rang (Le Roi de Kétou) pour un soutien quelconque comme il le fit pour N.S. lors d’une ATTAQUE de FUSIL INVISIBLE. Et puis, c’est d’un autre temps… Me voilà confronté seul à cette GAGEUR à démêler. Gagner encore du temps afin de trouver des failles à exploiter.
Inlassablement, je répondais à la famille qui me pressait de faire appel au Docteur : « Je ne souffre d’aucune maladie susceptible de me faire conduire à l’hôpital ». Les jours passaient et je suis toujours dans le même état de faiblesse, mais moins les montées de fièvre. En passant le cap des 7 jours toujours dans cet état, je compris que ce n’était pas une maladie qui m’entraînera dans la mort. Fort de cette vérité qui est mienne, je tenais tête à la pression de la famille tout en les rassurant. Vers les « PROFONDEURS » insoupçonnées de notre existence d’Hommes, la Prudence est toujours de mise pour celui qui sait. Le bout d’homme de fiston et sa maman sont rentrés de la maternité. Je me suis refusé d’avoir contact avec lui, par précaution. Ne sachant en réalité à quoi je suis confronté. Un peu avant noël, la nuit du 23 décembre, je reçois de nouveau la « Visite de DADA GBEHANZIN », avec la même « DEMANDE ». Mon « NON » catégorique d’avant le 06 décembre qui me CLOUA au lit, céda avec prudence la place à un astucieux : « Laissez-moi encore un peu de temps de réflexions ». « Prends ton temps, mais je veux avoir ton consentement, je reviendrai ». Ma réticence n’est dictée que par le dégoût ressenti lors du dernier remaniement gouvernemental en 1993 du Président Nicéphore Soglo. J’étais pressenti pour en faire partie et avoir en charge, le Ministère de la Culture. Il fut trompé par l’ex-Président Emile D. Zinsou et dirigé sur une fausse piste politique dans un rapport qui lui brandissait l’épouvantail AZONHIHO D. Martin. ...(à suivre)




05/01/2009
… Et ce n’est pas Fidèle Edoh Ayikoué qui me démentirait pour sa « compensation à la tête de l’ORTB », ni le Colonel devenu Général peu avant la remise du Pouvoir d’Etat par M. Kérékou en Avril 2006.
L’adage Yoruba se trouve une fois encore justifié : « Ilé ni Kou woua ». C’est de chez toi, que se justifie « ta mise à mort ». Certes, la calomnie de Fidèle E. Ayikoué n’a d’égale que le mutisme du Colonel et Emile D. Zinsou, en habile stratège tirait les ficelles dans l’ombre. S’il est dit que tous trois sont de Famille de mon côté, indiscutablement, je me retrouve mal logé. L’aîné, mon oncle maternel, Fidèle et Martin, mes beaux-frères. C’est dans ce climat d’intrigues politiques qui me dégoûta que je me fis une RAISON de mise à l’écart des choses politiques à l’africaine. S’il est vrai que l’ex-Président garde une dent contre le Colonel (après le coup d’état militaire), il est certain que tous les Coups sont permis pour des règlement de comptes sur fonds politiques. C’est ainsi qu’en PISTANT le Colonel en France depuis l’Ambassade du Bénin, en compagnie d’un Ponte du PCB, le Conseiller (Emile D. Zinsou, l’ex-Président) du Président Nicéphore Soglo découvre mon existence. Si le Colonel après sa libération par le Président Soglo, il s’est rendu en France pas chez une de ses femmes, et qu’il se retrouve avec moi durant un mois, c’est que sûrement « il doit préparer un mauvais coup ». C’est un mauvais souvenir qui hantait l’ex-Président. Il se souvenait certainement de sa propre chute du Pouvoir par les Militaires après s’être rendu en France pour demander une Aide Financière et revenant Bredouille. Il y a longtemps que je ne résidais plus sur le territoire et les échos politiques, en réalité n’étaient pas de mon pain quotidien. Ayant cerné la stupidité humaine, la convoitise et sa cohorte de Bêtises humaines, j’ai décidé de descendre sur Cotonou et d’entendre Fidèle Edoh Ayikoué. Devant son grand-frère, le mari de ma grande-sœur, j’ai voulu comprendre le pourquoi de ses médisances contre ma personne. Je suis SERVI au-delà de ce que je prétendais connaître de la Famille. Pour moi, plus de doute. Je dois me faire une raison. J’ai refermé cette page en rendant Hommage à l’ex-Président Justin T. Ahomadégbé (Conseiller et Consultant) du Président Nicéphore SOGLO). Tout comme le Président Emile D. Zinsou, le Président Justin T. Ahomadégbé sont de Famille. Ni l’un ni l’autre, ne m’ont jamais vu mais, tous deux, me connaissent de Nom. Que voulez-vous ? Nous sommes d’une grande Famille et le jeu des alliances ! Nul ne peut prévoir où il conduit. C’est avec ce souvenir de dégoût des affaires politiques que j’ai affronté Dada Gbéhanzin et, qui aurait pu me coûter la VIE. Je sais exactement ce que je ne veux pas : C’est vivre étiqueté, répertorié, calibré, déshumanisé et impudique… et puis 1993 est un lointain souvenir. Même vivace, c’est quand-même d’un autre temps. La Vie pour moi suivait son cours tranquillement. Je ne peux savoir quand et où je devrais impérativement donner une réponse plausible. J’ai mis le temps et la réflexion pour m’imposer plusieurs scénarios sans commettre le crime de lèse Majesté. Dada Gbéhanzin a tenu à sa promesse de revenir chercher Sa Réponse. Ainsi, dans la nuit du 02 au 03 janvier 2005, accompagné par mon illustre ancêtre, qui se tenait muet à ses côtés, Il m’exposa Ses désirs. Je ne pouvais que l’écouter tout en passant au crible les implications de ce qu’Il me demandait. Et soudain, je n’ai pu m’empêcher de demander à quoi rimait cette visite à deux ? Ainsi, tu seras moins craintif en me faisant CONFIANCE. Est-ce trop te demander aujourd’hui ? Je consentais, effectivement eu égard à mon passé que c’était la moindre des choses à faire pour SERVIR mon Père, notre DADA. Il me confia TOUT ce que je devais disposer pour mener à bien « cette MISSION d’une Haute Importance ». Les dés sont Jetés. Patiemment, j’ai attendu qu’Il me donne le top de la mise en route. J’ai averti MA MAISON (OUIDAH) sans trop de détails de ma MISSION. C’est ainsi qu’aux premiers jours du mois d’avril 2006, je suis descendu à Cotonou, 3 jours avant l’Investiture du Président Boni Yayi et suivre de LOIN les cérémonie. Ce qui justifia aussi ma présence à Abomey auprès du Roi HOUEDOGNI BEHANZIN, lors de la Commémoration du Centenaire de la Mort du Roi BEHANZIN en décembre 2006, et la Réception du RETOUR des Dépouilles du Prince Wouanilo.
Le RESTE demeure une affaire d’ETAT qui sort du cadre de ce Blog.
Sachez seulement que c’est avec un cœur léger que j’ai regagné les miens, le 17 Décembre 2007 après 20 mois d’absence du territoire français.

dimanche 12 octobre 2008

OUVERTURE des ARCANES de DJIMÊ

"KPÔGUÊ" DAH CHACHA VIWOUANOU.

Du haut de mes 64 ans en ce Jour du 12 Octobre 2008,

J'OUVRE LES ARCANES de DJIMÊ.

C’est un Droit qui m’a été donné de par ma Naissance, et JE LE PRENDS.

Non ! DADA GBEHANZIN, Tes Fils ne sont pas encore prêts pour

Suivre la Voie Idéale, ni pour le Danhomê-Bénin, ni pour le Continent Africain.

dimanche 4 mai 2008

ECOUTER MA MUSIQUE



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